Dernière production en date : réalisation par une équipe de bénévole de BAR TV, attachée à valoriser son territoire et promouvoir ses activités en Meuse.
Mon rôle : réalisation.
Dernière production en date : réalisation par une équipe de bénévole de BAR TV, attachée à valoriser son territoire et promouvoir ses activités en Meuse.
Mon rôle : réalisation.
Projet en cours, qui touchera à sa fin vers le printemps 2012, espère trouver une maison d’édition. Les premières lectures de certains passages sont positives, donnent envie de continuer et de terminer l’ouvrage.
Un roman en cours d’écriture : poser ses idées, savoir où l’on va, adopter un rythme, et jouer avec ses personnages : pour moi, c’est un plaisir de travailler sur ce roman. Je suis même surprise de la tournure de certains événements.
Et puis je garde en mémoire des ouvrages remplis de conseils ou de méthodes pour laisser aller le flot de mots, quitte à couper et recadrer l’action, en phase de réécriture. Un de ceux qui me reviennent en mémoire est Big Sur ou les Oranges de J.Bosch, de Henry Miller. Un livre de chevet.
Avec 1984, of course !!
@ bientôt
J’étais rien, j’étais bien
J’étais là, dans ton vent
Mon sillage perdu, Dans le temps
Des temps, Des Acrobaties Verbeuses
Et frivolité au diapason
Ont rendu ton nom
Transparent, Filigrane
De ma vision Sur le monde.
Tu n’es rien et pourtant
Avec de l’air tu prends
Les creux des autres
Et les pensées des monts.
Déposée là, ce jour
Déposée là pour toujours,
En bas, m’attend, apaisement
Et Réalité.
Je te quitte, imparfaite,
Branlant le silence par tes mensonges.
Un chemin de nouveau,
Dans le calme où je suis,
Vers la vie, je repars.
Barbara D. Raux, membre du Pôle d’Arts La Fourmilière et de l’Association Plume
C’est Un soir qui tombe sans bruits
Sur le sol noir de minuit
Tape le froid du carrelage et rit,
et meurt dans un silence ahuri.
Personne dans la cuisine.
Personne ici.
Pas un souffle
Pas une ruine.
Pas Un écho qui rebondit.
Rien qu’une fille qui séduit.
Une aventure est passée
dans une calèche maculée
limpide comme une stèle
aveuglante comme l’été.
C’est ainsi depuis son départ,
une poupée aux milles traits
dessinés,
C’est ainsi tous les soirs
Depuis qu’elle a déserté.
Son air joué du bout des lèvres
Sur une flûte ensorcelante
Mêlait des mots de miel,
A la place vacante.
Alors, clic, tour de clé,
Et, clac, porte qui claque,
Quelque part s’envole le triste clown,
Quelque part s’endort la voix volée,
Quelque part on s’en retourne,
Quelque part, on a espéré.
Barbara D. Raux, artiste membre du Pôle d’Arts La Fourmilière et de l’association PLUME.
J’ai participé à l’élaboration de ce film.
Dans le cadre des activités de Bar TV
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